L’approche géohistorique documentera les grandes variations de l’utilisation des terres depuis le XVIIIe siècle, d’autres impacts anthropogéniques, tels que les développements hydrauliques, et des séries d’événements extrêmes à partir de plans, cartes, croquis, documents, journaux, photographies anciennes. Ces informations seront combinées avec des ré-analyses climatiques à long terme pour simuler les recharges sur le long terme. Les recharges simulées seront analysées pour déconvoluer les impacts des évolutions de l’occupation des sols et des changements climatiques.